saison nathalie 2015

c'est une saloperie dont on ne se débarrasse jamais.
Je l'ai choppé en 1969 dans hopital militaire.
Malgré la prise d'antibio, il revient dès que je me blesse.
Quelquefaois il me fout la paix pendant 5 ou 6 ans puis revient.

quelque poisse, pour le coup c'est une vrai cochonnerie, c'est pas une blague et ça fait pas rire !courage Nathalie, je peux pas faire mieux
la question est de savoir comment tu l'as chopé et comment on peut le chopé les autres ?pour pouvoir l'éviter

libellule a écrit:

pas de panique, les résultats de l'antibiogramme te diront si c'est un bête staphylo comme il y en a partout ou si c'est un truc plus résistant..... rien ne peut permettre d'affirmer tout de suite que tu aies choper dans ton élevage une cochonnerie très résistante du style de celle qu'a eu Strasky à titre personnel
pis tu ne peux quand même pas toujours avoir la guigne...

Oups ! J'ai ma réponse

Libellule,
Je suis atterrée !!! Je ne sais que dire... quels mots écrire pour t'aider et te remonter le moral... rien ne me viens sinon... je pense à toi ! pas des mots creux, non, mais juste l'expression de la vérité.... j'ai hâte de savoir les résultats de l'antibiogramme....

Fasse le ciel que ce ne soit qu'un banal virus facilement exterminable.... Que vous restiez vous tous, en bonne santé et aussi que le reste de tes oiseaux soient saufs....

Bisous

Voici ce que j'ai trouvé...
En effet Staphylococcux aureus ne se limite pas l'homme :

http://www.futura-sciences.com/magazines/sante/infos/actu/d/medecine-staphylocoque-dore-repand-faune-sauvage-42147/

Le Staphylococcus aureus (communément appelé staphylocoque doré) résistant à la méticilline (Sarm), est le pire ennemi du monde hospitalier. Découvert en 1961 au Royaume-Uni (soit 2 ans après les débuts de la méticilline), il n’a cessé de se développer depuis. Responsable de plus de 10 % des infections nosocomiales, souvent graves, c’est un véritable fléau pour les êtres humains. Une étude parue ce mois-ci dans le Journal of Wildlife diseases révèle que la bactérie s’est propagée dans la faune. Le Sarm a en effet été retrouvé sur deux lapins à queue blanche, ainsi qu’un oiseau migrateur, le petit chevalier.

Des espèces animales avaient déjà été identifiées comme porteuses du Sarm. En effet, depuis plus de 10 ans maintenant, il est connu que sur le bétail et les animaux de compagnie, des souches se sont développées. En 2010, l’Autorité européenne de sécurité alimentaire (Efsa) estimait que les élevages industriels de veaux, poulets ou cochons étaient les plus concernés. L’explication est simple : les bêtes sont soignées avec des antibiotiques, identiques à ceux utilisés pour les humains et sont régulièrement en contact avec les Hommes.

C’est donc la première fois qu’une étude a été réalisée sur la faune sauvage. Le résultat est plutôt alarmant. Des épidémiologistes américains ont réhabilité 114 animaux sauvages, de 37 espèces, dans une clinique universitaire. Des échantillons sur les plaies et blessures des voies nasales et des ailes ont été prélevés. Trois des animaux ont été positifs au test du Sarm, ce qui représente tout de même 2,6 % du lot ! Sur le même lot, 7 (6,1 %) étaient porteurs d'une souche de S. aureus sensible à la méticilline.

Le petit chevalier est un oiseau migrateur. Il se reproduit au bord des étangs d'Alaska et du Québec pour ensuite migrer vers le golfe du Mexique et le sud de l'Amérique du Sud. C'est le premier oiseau sauvage identifié comme porteur de la bactérie Staphylococcus aureus, qui résiste à la méticilline et se développe dans les milieux médicaux. © Alan D. Wilson, www.naturepicsonline.com, DP
Le petit chevalier est un oiseau migrateur. Il se reproduit au bord des étangs d'Alaska et du Québec pour ensuite migrer vers le golfe du Mexique et le sud de l'Amérique du Sud. C'est le premier oiseau sauvage identifié comme porteur de la bactérie Staphylococcus aureus, qui résiste à la méticilline et se développe dans les milieux médicaux. © Alan D. Wilson, www.naturepicsonline.com, DP

Comment le staphylocoque doré s'est-il propagé dans la faune ?

Le petit chevalier est un oiseau migrateur, les lapins à queue blanche sont sédentaires. Comment ont-ils donc pu devenir tous trois porteurs du Sarm ? La réponse est particulièrement difficile à trouver car les oiseaux migrateurs ont rencontré différents environnements durant leur voyage. D’après le vétérinaire et épidémiologiste Jorge Ferreira, il est certain que ces animaux, n’ayant jamais reçu d’antibiotique, ont récupéré ces bactéries depuis leur environnement.

L’équipe d’épidémiologistes a identifié les souches du staphylocoque résistant à la méticilline sur les trois animaux. L’oiseau migrateur est porteur d’une souche semblable au staphylocoque doré qui se développe en milieu hospitalier. Le typage moléculaire chez les lapins a révélé que leur Sarm était en outre résistant à la tetracycline, ce qui est, d’après la chercheuse Tara C. Smith, commun dans les bétaillères. Les origines des infections des deux espèces animales sont donc différentes.

Le monde animal est un réservoir du Sarm dans l’environnement. Les espèces infectées sont-elles capables de transmettre la bactérie à d’autres animaux ? D’autres études sont en cours pour répondre de manière précise. Mais on sait déjà que les animaux domestiques et les êtres humains peuvent se transférer l’infection, à plusieurs reprises. Donc pourquoi pas les animaux sauvages ? L’Homme subit le revers de la médaille. Par l’utilisation abusive d’antibiotiques, il a créé un vrai fléau...

des nouvelles Nathalie ?

J'avoue, j'attends aussi...

non,pas encore d'antibiogramme.
dimanche, j'ai perdu mon ondulée de 18 ans..... pas de ça, du moins je pense.... mais bon, je m'en viens mal.

je sonne demain matin.

Des oiseaux âgés sont morts ce dimanche à lundi. Est-ce un lien avec la lune ?

on a trouvé, mais je ne suis pas sortie de l'auberge.

en fait, il y a bien eu un souci de staphylocoque auréus, qui devait etre sensible à l'enroxoflaxine. (vraisemblablement amené par la bourke que j'ai rentrée, mais ça peut être autre chose aussi, comme des graines contaminées).;  si ce n'avait été que ça, j'aurais pu en sauver, vu que je l'ai vu tôt assez.

le seul truc nouveau que j'ai fait cette année, c'est de broyer des coquilles d'ouefs dans les pâtées.  comme ce sont des oeufs de magasin, ça ne peut pas être ça, car trop bien contrôlé.

le souci est qu'une surinfection pulmonaire st venue s'ajouter.... et l'enroxoflaxine.... et bien nada!
donc des investigations plus poussées ont été faites, et sur les cadavres, on a remarqué qu'il y avait en plus de l'aspergillose........ contre quoi on ne peut rien faire, sans mettre la vie de tous les soieaux en jeu.

en cherchant , cela proviendrait d'un qcoin humide que j'ai dans ma volière, depuis presque le début, et chaque fois qu'il pleut, j'ai de l'eau qui rentre.  j'avais bien mis des plaques dessus, mais ce n'est pas siffisant.  il faut faire un vide ventilé.

ma façon de changer les lirières :  je garde les graines tombées dans un grand récipient.  et au bout de 15 jours, celui-ci est plein.  je nettoie dontc les veilles graines qui sont au sol, et les remplace par celle du récipeint. les oiseaux allant au sol...... se contaminenet avec des graines "germées" humides......  voilà l'erreur.

donc, on désinfecte le tout.
on ne met plus rien au sol, si ce n'est gratter les fientes.
on essaye de régler le problème d'humidité de ce coin là.
et on croise les doigts , car les malades d'aspergillose, je ne sais pas le voir!

je suis un peu soulagée, mais..... avec une bombe a retardement....... l'espergillose n'étant pas contagieuse.

ouais c'est pas gagné mais quelques petits trucs à mettre en place pour à termes trouver un équilibre, enfin je te le souhaite!

que faudrait il donner ( médoc ) à tes oiseaux lorsque cela arrive ...

yvon a écrit:

que faudrait il donner ( médoc ) à tes oiseaux lorsque cela arrive ...

j'avais visé juste pour le staphylocoque. je ne suis pas tombée sur un sarm.
mais sans une analyse de cadavre, on travaille au petit bonheur la chance......

Pour le sol, le mieux est encore d'élever sur grillage quand c'est possible.

Bon on va dire ouf !
mais va falloir jouer serré encore une fois !
Allez courage !

J'ai perdu deux oiseaux l'année dernière après avoir étendu sur le sol de la volière des écorces de pins
humides en sacs(mycélium blanc visible sur les écorces) après avis du vétérinaire et autres, il semblait que les symptômes ressemblaient fortement à l'aspergillose. Après avoir retiré ces copeaux plus aucune perte d'oiseau... Au moins maintenant tu as certainement mis le doigt sur le problème. Courage...

Merci, ça va aller..... on va s'en sortir.
les réparations commencent dès demain. la désisnfection de la volière collective a été faite cet après-midi (mais je n'ai pas encore vidé les nids, et les batteries)

l'important est d'assainir l'endorit ou les oiseaux passent la nuit, et ou il vont lorsqu'il fait un peu plus froid.

oh ben mince alors.... moi qui utilise aussi les écorces de pins.... d'accord, je prends soin de les sécher au soleil avant mais quand même...;
allez zou à jeter !!!

je ne sais pas comment faire sans ça pour amortir les chutes de N'aqunoeil !!!! la paille de chanvre ? je mets déjà, par dessus le pin.... mais pour en faire un matelas assez épais rien qu'avec ça.... ce sera dur...

pensez vous que mettre des caillebotis sous la paille soit une bonne idée ???

En tous cas j'espère que pour le coup c'est la fin des soucis dans ta volière !!!!

Loin de moi l'idée de poscrire les écorces de pins Mavie, j'en ai encore dans ma volière . Juste se méfier de celles logées et confinées humides en sacs plastiques pour les autres pas de souçi surtout si tu les laisses sècher sous ton BEAU soleil...

Ouf !!! Merci Patrice !

oui tout a fait, mavie. chez nus, c'est humide, et encore plus chez moi que chez patrice.

et moi je râle parce que j'ai une hygro à 22 !!!! et que ce n'est pas suffisant (ça dessèche trop les voies respiratoires) et je mets un humidificateur dans la maison !!!
Le monde est mal fait !!!